lundi 7 juillet 2008

Zubaz



C'est rendu assez populaire chez les gens de mon âge de s'adonner à toutes sortes de délires nostalgiques autour des années fin 80-début 90. Étant féru de culture pop, de mode et de musique, je n'y échappe pas et il n'est pas rare de m'entendre discuter à propos des souliers Patrick Ewing, des chandails Vuarnet ou des casquettes Starter si ce n'est pour tout simplement me mettre à namedropper des athlètes de toutes sortes, de John Kordic à Mugsy Bogues, en passant par «The Fridge» Perry puis Pascual Perez

Mais même avec mes amis les plus nerds, les plus fashion conscious ou les plus calés en statistiques sportives, quand j'arrive à Zubaz, je les perds...

J'en ai rocké en criss du zubaz dans mon jeune temps. Wiki nous dit que leur chiffre d'affaire a été de 100 millions pour la seule année 1991. Ça ne m'étonne pas : J'étais tellement all zubazed-up à l'époque qu'au terrain de basket un kid plus vieux m'avait surnommé zubaz. À bien y repenser, c'est pas mal du tout comme surnom...

Oh shit, zubaz vient d'te burn avec le crossover, dawg !

Ma mère, qui a toujours été une grande couturière et qui connaissait les meilleurs spots pour acheter du tissus (shout-out à mes Arméniens de la Plaza St-Hubert!) avait trouvé un endroit où ils vendaient le fameux motif zubaz et ce, en une multitude de couleurs. J'était set.

Les deux culturistes qui ont lancé l'entreprise (no homo) on refait surface en 2007 (d'où le site web officiel). C'est donc possible de se trouver une paire de pants j'imagine, du moins je l'espère.

À bien y penser, si Pretty Tony peut se permettre d'être le Wally Champ, j'pourrais peut-être devenir King Zubaz...

2 commentaires:

Anonyme a dit...

spud > mugsy

Anonyme a dit...

ah dommage que Jeune Chilly Chill se retrouve sur ce blogue et qu'il amène avec lui son homophobie, ou son besoin de rappeler qu'un tel est gai ou pas ou no homo, c'est un peu navrant. J'étais lecteur assidu, mais à l'avenir je m'abstiendrai.